Google Glass devient « Projet Aura »

Google Glass devient « Projet Aura »

Google_Glass_Main_photo_Tim.ReckmannLe géant de Montainview revient sur son projet de lunettes connectées et avait décidé d’engager des ingénieurs chez Amazon. Le projet a été renommé et les nouvelles lunettes s’adaptent plus à une utilisation professionnelle.

Certains l’ont surement oublié, suite à l’arrêt des tests et de la commercialisation en janvier. Alors qu’Éric Schmidt, le président exécutif de Google avait annoncé que la firme était en train de développer d’autres générations de lunettes connectées, mais peu de personnes y croyaient réellement. Mais, ils se sont trompés, car Google a bel et bien continué le développement de ses lunettes intelligentes. Le géant du web souhaite reprendre son projet « Google Glass » mais en changeant le nom du projet. Ainsi, on ne dira plus « Google Glass » mais « Projet Aura, d’après les informations que Wall Street Journal et Business Insider avaient publiées.

Ivy Ross continuera de diriger le projet et Tony Fadell, patron de la filiale Nest supervisera toujours le dossier.

En même temps, Google procède aux renforcements des équipes de développement. Il a même engagé une personne responsable des embauches. Trois ingénieurs du Lab126, filiale d’Amazon font parties de l’équipe.

Les nouveaux recrus travaillaient sur les technologies de streaming intégrées, certains médias ont déduit que les nouvelles « Aura » pourraient proposer des contenus de même genre. Ces déductions semblent confirmer le fait que les nouvelles lunettes utiliseront des streaming de contenu. Ce qui est sûr c’est que le projet de lunettes connectées de Google n’a jamais été enterré.

Cependant, il faut quand même avoir beaucoup de patience pour pouvoir profiter de ces nouvelles lunettes qui sont surtout destinées aux professionnels. D’après Wall Street Journal, il fat encore attendre un an avant d’espérer voir les nouvelles lunettes, même si le journal américain indique que quelques modèles ont été expédiés chez certaines entreprises du secteur de la santé et de l’énergie pour des tests.

crédit photo: Tim.Reckmann